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ou comment utiliser le coaching dans l’entreprise pour augmenter sa performance

Les origines du coaching

Le business coaching : pourquoi ?

Le business coaching : pour quoi.

Le business coaching : pour qui ?

Le business coaching : quoi ?

Le business coaching : comment ?

Comment choisir son coach

Le réseau des coachs CPA

 

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Les origines du coaching

Si nous consultons « the Oxford reference dictionary » nous apprenons que le mot anglais coach signifie : instructor or trainer in sport ; private tutor.

Par cette simple définition, nous avons accès à l’histoire du coaching.

Utilisé d’abord aux Etats-Unis dans le monde du sport, le coach est l’entraîneur qui met en condition le sportif de gagner.

Bientôt, cette façon d’agir est transposée à d’autres domaines tels que la remise en forme, le relooking, et surtout le domaine des affaires. Le business coaching est né. Il arrive en France dans les années 1980.

Les premières personnes à le pratiquer en France s’appellent Vincent Lenhardt, Olivier Devillard, ….

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Le business coaching : pourquoi ?

Longtemps resté confidentiel, le business coaching connaît à ce jour un développement rapide. Nouvel outil dans lequel les entreprises placent leurs espoirs, il doit permettre de répondre aux nouvelles exigences crées par la dynamique actuelle de l’économie.

Globalisation, mondialisation, accélération, flexibilité et rentabilité immédiate décrivent l’environnement dans lequel toute entreprise doit vivre.

Dans un tel contexte, sa pérennité nécessite qu’elle soit menée par un dirigeant capable d’une vision juste sinon imaginative et relayé par une organisation performante et réactive.

Pour être réactive, une organisation nécessite d’être conçue sur le principe de subsidiarité qui n’est possible que si la compétence des acteurs est développée à tous les niveaux hiérarchiques.

La compétence se comprend technique métier et stratégique mais aussi organisationnelle et comportementale.

Cette dernière a été ignorée ou volontairement oubliée jusqu’à ces derniers temps. C’est au travers de l’analyse des nombreux échecs de fusions et de réorganisations que le monde des affaires a pris conscience que la compétence comportementale est un facteur clé de succès dans la vie ordinaire de l’entreprise et une condition incontournable lors d’une mutation profonde.

Le business coaching intervient pour développer la compétence comportementale et organisationnelle dans le cadre d’une stratégie définie.

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Le business coaching : pour quoi.

 Concrètement une mission de business coaching est déclenchée pour répondre à une problématique précise de l’entreprise telle que :

 -        développer la compétence managériale et comportementale,

-         introduire une culture projet,

-         réussir un changement d’organisation ou un changement de poste,

-         augmenter l’efficacité individuelle et collective,

-         développer l’exemplarité du dirigeant,

-         atteindre les objectifs d’un séminaire,

-         intégrer de nouveaux savoirs,

-         conduire sa carrière, ….

Une fois la problématique exposée par le dirigeant, le coach propose une dynamique d’intervention qui précise les personnes coachées, les façons d’intervenir et la durée.

Conjointement avec le coach, le dirigeant peut définir des critères de mesure d’atteinte de l’objectif et ainsi suivre les effets du coaching.

Dans tous les cas, le contrat de business coaching reste un contrat de moyens.

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Le business coaching : pour qui ?

Traditionnellement le business coaching était réservé aux cadres dirigeants. Cet aspect élitiste était grandement justifié par le coût d’une intervention d’un coach performant externe à l’entreprise. Le coaching se présente, dans ce cas, comme un investissement que l’entreprise fait sur ses meilleurs cadres.

L’efficacité de l’outil n’étant plus à démontrer, les entreprises ont souhaité en faire bénéficier tous leurs employés et ont imaginé une solution moins onéreuse : le coach interne.

Le coach interne, salarié de l’entreprise est formé au coaching puis exerce celui-ci auprès du personnel.

Aujourd’hui, la plupart des multinationales possèdent ou sont en cours de création d’un pool de coachs internes. Cette solution très efficace est complémentaire du coach externe qui reste l’intervenant privilégié auprès des dirigeants pour des raisons évidentes de confidentialité, de formation et de culture.

Outre l’individu, le coaching concerne les entités groupales qui peuvent être par exemple un comité de direction, un groupe projet ou un service. Le coaching y introduit une régulation des comportements qui permet de s’enrichir de la différence de l’autre plutôt que d’en être diminué. Il introduit également des animations qui donnent à chacun l’opportunité d’apporter toute sa compétence à l’entreprise.  

Une intervention de business coaching combine souvent des interventions à plusieurs niveaux hiérarchiques ou groupaux et le cas échéant fait intervenir les coachs internes de l’entreprise. C’est ainsi que peut se développer l’intelligence collective sur la base de la vision du dirigeant pour son entreprise.

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Le business coaching : quoi ?

Il existe trois procédés habituels d’intervention d’un consultant en entreprise : le coaching, le conseil et la formation.

C’est principalement  le résultat souhaité à moyen terme qui orientera le choix du dirigeant sur un procédé ou l’autre.

Le coaching : la personne ou le groupe élabore ses propres solutions au travers d’une réflexion personnelle accompagnée par le coach.

Ce procédé mène l’entreprise à définir des solutions qui sont complètement adaptées à la culture et la problématique de l’entreprise. De ce fait, il en garantie l’appropriation par les acteurs.

Cet accompagnement sur mesure est particulièrement adapté dès que l’on touche à l’organisation du travail.

Le conseil : le consultant apporte ses solutions élaborées par lui-même à partir des informations fournies par le client.

Ce procédé apporte à l’entreprise une solution qu’elle peut ne pas pouvoir définir par elle-même.

Il est particulièrement adapté à la consultation de spécialistes tels qu’avocats, financiers, …

La formation : le formateur transfère son savoir à son client.

Ce procédé apporte à l’entreprise un savoir-faire qu’elle devra pouvoir utiliser ensuite.

Il est adapté pour tous les apprentissages techniques métier. Cependant, ayant constaté le manque d’efficience des formations traditionnelles, c’est maintenant vers les formations proactives que l’entreprise s’oriente. A savoir une formation animée à l’aide des outils du coaching garantissant l’appropriation des nouvelles connaissances.

La réalité des entreprises et de ses problématiques écarte toute utilisation exclusive d’un procédé ou l’autre. Toute intervention est généralement intégrative des trois procédés dans des proportions variables qui définissent l’appellation de l’intervention.

Ainsi le business coaching est structuré sur les principes du coaching avec l’apport de conseil et de formation lorsque nécessaire pour éviter les situations de blocage.

Il est cependant primordial de préciser au dirigeant quel procédé est utilisé à quel moment pour garantir la transparence de la relation.

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Le business coaching : comment ?

Le coach est un miroir non déformant et toute sa puissance est liée à sa capacité à refléter une image fidèle de la situation.

C’est d’ailleurs pourquoi il est si important que le coach ait fait un travail sur lui-même pour éviter qu’il ne déforme le reflet de ce qui lui est présenté.

Le travail avec le coach commence par une phase d’exposé de la problématique qui entraîne le dirigeant à mettre en place les différents acteurs, leurs relations, leurs visions des choses, leurs intérêts, ….. de façon à brosser un paysage le plus complet possible.

Apparaît alors clairement les causes et les mécanismes de la situation. Avec cette prise de conscience, le dirigeant devient à même d’imaginer des solutions et leurs impacts sur les aspects qu’il souhaite modifier, puis de définir un plan d’actions et enfin d’animer son exécution. A chaque étape, le coach veillera à ce que le dirigeant ait pris conscience de tous les aspects de la situation, de façon à ce qu’il puisse prendre pour lui et les autres les meilleures décisions.

Les outils utilisés par le coach dans son rôle de miroir non déformant sont multiples. Certains sont très simples tels que l’écoute active, la reformulation, l’exploration des zones, …  alors que d’autres font appel à des savoirs faire tirés de techniques telles que l’analyse transactionnelle, la P.N.L., la systémique, … Ils permettent d’identifier les situations de répétition, les positionnements respectifs lors d’une communication et les messages parasites. Ils sont le support d’un partage des représentations ou de la verbalisation de l’essentiel d’une situation.(1)

Pour le business coaching, chaque coach met au point ses propres outils à partir de sa formation, son expérience et sa personnalité. Ils se présentent souvent sous la forme d’une combinaison de séminaires, d’entretiens individuels et/ou de coachings de groupe dont les effets entrent en synergie. 

(1) Pour plus d’informations sur les techniques de coaching, le lecteur pourra consulter les livres de Delivré (le métier de coach) et de Lenhardt (responsables porteurs de sens).

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Comment choisir son coach

Pour pouvoir amener rapidement son client dans une clairvoyance génératrice de puissance, le business coach doit avoir développé deux pôles de compétences.

Tout d’abord, les compétences d’un simple coach qui s’acquièrent au travers d’une formation soutenue par de l’expérience mais surtout par un travail sur soi. Il est en effet impensable que le coach amène un dirigeant à une vision clairvoyante si lui-même est noyé dans sa subjectivité.

Plusieurs écoles existent en France qui délivrent un diplôme de formation au coaching : Transformance de Vincent Lenhardt, Mozaique de XXX, Business Challenge……

De façon complémentaire et pour préserver le temps du dirigeant, précieux en entreprise, le business coach doit connaître le monde de l’entreprise, à savoir sa culture, ses pratiques, ses contraintes,… Cette connaissance ne peut s’acquérir qu’au travers d’un vécu à un niveau de responsabilité cohérent avec celui du dirigeant coaché.

Ces compétences incontournables étant présentes, le business coach doit les utiliser dans le cadre d’une déontologie qui se décline principalement par :

-   le respect de l’autre (individu, groupe ou organisation) et de la croyance en ses capacités : la personne coachée a en elle les ressources nécessaires pour résoudre sa problématique.

-   la protection de l’autre. Le business coach ne permet pas à son client de se mettre en danger. Il gère les bourrasques inhérentes aux changements.

-   la confidentialité, vis-à-vis de l’extérieur et surtout vis-à-vis de la structure interne. Dans le cas d’un contrat tripartite, la partie payante n’aura pas droit à plus d’informations de la part du coach que celles prévues au contrat.

-   le respect des termes du contrat et en particulier concernant les objectifs et les limites du contrat.

Cette déontologie est reprise par les fédérations de coachs dans un engagement qu’elles font signer à chacun de leur adhérent.

Les principales fédérations en France sont la SF coach (société française de coaching), ICF (international coaching federation) et la FF coaching (fédération francophone de coaching).

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Le réseau des coachs CPA (Coaching Performance Ability)

Composé de business coachs confirmés, le réseau des coachs CPA rassemble des professionnels de l’entreprise ayant chacun exercé à des postes de responsabilité pendant plus de 10 ans.

Chaque membre a suivi une formation initiale supérieure - ingénieur, sciences PO, … - puis a exercé au sein des entreprises de nombreuses responsabilités de direction. Tous diplômés du CPA (centre de perfectionnement aux affaires), actuellement l’executive MBA du groupe HEC, ils ont décidé de travailler en réseau pour offrir une gamme étendue de savoirs faire et d’expériences.

Chaque membre est devenu coach à la suite d’une formation longue et diplômante telle que  CT+ de Vincent Lenhardt et d’un travail sur soi qui se compte en années.

Chaque membre adhère à une fédération de coachs et possède sa propre entreprise.

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